Un bruit sourd, persistant, répétitif et lourd sortait du Refuge depuis un petit moment déjà. De temps à autres le bruit cessait quelques minutes puis il reprenait, lancinant, dur.
Un marteau dans une main, un clou dans l'autre, Saraban fixait un large panneau de bois et de liège au mur du Refuge qui prolongeait la porte d'entrée, personne ne pourrait le louper ainsi s'était-elle dit.
Trois tiges métalliques dépassaient de ses lèvres et lorsque le clou fut enfoncé elle se saisit d'une des tiges et poursuivi ainsi sa besogne jusqu'à ce que le tableau soit solidement fixé. Sur une des tables derrière la jeune femme se mélangeait des clous, des papiers et de très fines lames émoussées. Elle se saisit des dernières et les planta dans le liège du tableau avant de se retourner et de s'installer devant la table.
Un papier, un encrier, une plume et une sorte de tampon. Ses gestes étaient rapides mais précis, elle griffonna rapidement quelques mots sur un bout de papier avant de le planter à l'aide d'une lame sur ce qui était désormais le panneau d'affichage du Refuge des Sibyllins. Pratique pour prévenir tout le monde sans avoir à courir partout.
Saraban se saisit du tampon de bois et le peinturlura d'encre avant de frapper le papier avec, révélant le sceau de La Cohorte. Elle se frotta les mains et sourit avant de sortir, laissant là tout son bazar.
Un marteau dans une main, un clou dans l'autre, Saraban fixait un large panneau de bois et de liège au mur du Refuge qui prolongeait la porte d'entrée, personne ne pourrait le louper ainsi s'était-elle dit.
Trois tiges métalliques dépassaient de ses lèvres et lorsque le clou fut enfoncé elle se saisit d'une des tiges et poursuivi ainsi sa besogne jusqu'à ce que le tableau soit solidement fixé. Sur une des tables derrière la jeune femme se mélangeait des clous, des papiers et de très fines lames émoussées. Elle se saisit des dernières et les planta dans le liège du tableau avant de se retourner et de s'installer devant la table.
Un papier, un encrier, une plume et une sorte de tampon. Ses gestes étaient rapides mais précis, elle griffonna rapidement quelques mots sur un bout de papier avant de le planter à l'aide d'une lame sur ce qui était désormais le panneau d'affichage du Refuge des Sibyllins. Pratique pour prévenir tout le monde sans avoir à courir partout.
Rassemblement au Refuge, 15 de la Margryr, en soirée.
Saraban se saisit du tampon de bois et le peinturlura d'encre avant de frapper le papier avec, révélant le sceau de La Cohorte. Elle se frotta les mains et sourit avant de sortir, laissant là tout son bazar.
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